Showing posts with label Paris. Show all posts
Showing posts with label Paris. Show all posts

Thursday, November 20, 2008

Archives de la Province de France de la Compagnie de Jésus

A few catalogue listings for Fonds Brotier:

Volume 82 GBro 082
Lettres de l’Inde de Père Gargam: 18 lettres 1726-1741, pour la plupart autographes et adressées (quand le destinataire est indique) au P. Etienne Souciet, du collège Louis le Grand a Paris, avec notations linguistiques, ff. 66-114.

Volume 83 GBro 083
1. Lettre du P. Moriser sj au P. Souciet, 26-1-1731; 3 p. ff. 17-118
2. P. Duchamp: sur le calcul des planètes selon la méthode Graha Chendrika; pour calculer les éclipses; calculs divers; 71 p. ff. 119-115
3. Observations astronomiques diverses, 189; 12 p. ff 156-60 et 162-163
4. Copie d’une lettre du P. Coeurdoux, 17-9-1733, écriture de Brotier; 6 p. ff. 161, 164-165
5. Lettre de P. Duchamp au P. Souciet, reçue en 1733 (copie); 7 p. ff 166-69

Volume 88 Gbro 088
Lettres de missionnaires des Indes au P. Souciet (sauf la première) toutes autographes

Volume 89 Gbro 089
10 lettres de P. Calmette, 1726-1737, au P. Souciet (quand le dentinaire est indique) Autographes, sauf la 1er

Wednesday, November 19, 2008

Archives de la Province de France de la Compagnie de Jésus

Sommervogel, t. 7, 1397-1404. G. Duman, Histoire du Journal de Trévoux, 1936, p. 121-22. Etablissements es Jésuites en France, passim. Feller. Michaud. Roefer.

Souciet, Etienne 12

Ne le 12 Octobre 1671 a Bourges

More le 14 janvier 1744 a Paris

Entre le 8 septembre 190

Prêtre en 1701 a Paris

Derniers vœux le 2 février 1706 à Paris

Fils d’un avocat, apes ses études chez les Jésuites de Bourges il entre au noviciat de la Compagnie à Paris (1690). Apres un an de régence a Alençon (Orne) (1692-93), et quatre au collège Louis-le-Grand à Paris (1693-97), il fit dans la même maison un an de philosophie et quatre de théologie, ordonné prêtre en 1701. Dès 1702 il fut scriptor au collège Louis-le-Grand où il passa presque tout le reste de sa vie, sauf pendant son 3e an, qu’il fit à Rouen en 1704-05. Au cours de ses études il avait acquis une masse de connaissances, qu’il ne cessa d’enrichir. Professeur de théologie positive durant 9 ans (1716-1725), il fut chargé de l’importante bibliothèque du collège de 1725 à 1740. De 1708 à 1725 il donna de nombreux articles non signes aux Mémoires de Trévoux. Sa connaissance du latin, du grec, de l’hébreu, des langues orientales lui permit de réunir en 1715 des dissertations critiques sur les passages difficiles de l’Ecriture sainte. Dans ses dissertations de 1727 il critiqua la chronologie de Newton. Ses relations avec les missionnaires jésuites de la Chine et de l’Inde comme Gaubil, Kögler, Slaviesek, Jartoux, etc., lui permirent se publier en 1729-1732 3 volumes d’observations mathématiques, géographiques, chronologiques et physiques tirées des anciens livres chinois ou faites nouvellement. Il collabora souvent aux Act sanctorum des Bollandistes. ON lit sans son éloge par le P. François Oudin dans les Mémoires de Trévoux : « Son esprit veste, solide, ferme, énergique, étendu lui fit embrasser toutes les sciences : érudition, astronomie, chronologies, mythologies, géographie, médailles, inscriptions, etc.… » Sa charge de bibliothécaire le détacha souvent des se travaux personnels pour le mettre au service de ceux qui le consultaient. Il eut quatre frère jésuites : François (1674-1739), qui fut professeur à La Flèche, Jean (1681-1762), un des collaborateurs des Mémoires de Trévoux, Jean-Baptiste (1684-1738), missionnaire au Levant, mort à Salonique, Etienne-Auguste (1685-1744), supérieur du grand séminaire de Nevers, écrivain, collaborateur des Mémoires des Trévoux.

Tuesday, November 18, 2008

Archives de la Province de France de la Compagnie de Jésus

A history of the Fonds Brotier:

J. Dehergne: les archives des jésuites de Paris et d’histoire des missions aux 17s et 18s

Une part important des correspondances, des rapports et de mémoires venus des pays lointains s’entassait sous forme de liasses dans le bureau du dernier bibliothécaire du Collège Louis-le-Grand, le Père Gabriel Brotier (1723-1789). Ce savant, estime de ses pairs, obtint, lors de la suppression des 80 collèges de l’ordre, par le Parlement de Paris (1er April 1762), de garder a sa disposition ces divers papiers. A sa mort, en 1789, son neveu André-Charles Brotier en hérita (ainsi que de ce qui forme le fonds Rybereyte) ; mais, compromis dans un complot royaliste (1797), emprisonné et ruiné, il n’eut d’autre ressource que de léguer à son avocat, comme gage des honoraires qu’il ne pouvait payer, ces derniers biens qu’il possédait encore. Ainsi, par dons, ou pour achats subséquents, plusieurs séries de papiers ont réintègre nos Archives, ou le fonds Brotier se présente actuellement sous formes de minces volumes relies : on en comptait 200 au milieu du siècle dernier ; mais, par suite des expulsions de 1880 et de 1900, et de prêts inconsidérés, il n’en reste pas que 160. Par la diversité des pièces qu’il rassemble, dont beaucoup sont des autographes ou des copies d’époque, le fonds Brotier, avec lequel on a relie plus tard des écrits du XIX siècle, constitue l’une des sources les plus riches—mais non les plus anciennes—de nos archives.

Monday, November 17, 2008

Archives de la Province de France de la Compagnie de Jésus

If you're doing research on 18th century India, chances are good you've run across the names of one or two Jesuit priests. They appear in the landscape of southern India with especial frequency, but also toward the north/central region (there was a Jesuit church and college at Agra, for instance). An incredibly curious set of religious folk, the Jesuits took notes on just about everything they saw: language, religion, family, geography, science, trade, travel, etc. We know they were curious, because they wrote letters with unbelievable frequency when they were out on mission, describing the world as they encountered it.

Fortunately, many of the letters written back to Europe from India, China, the Americas and Africa were preserved by the recipient (usually a priest in a higher position). In the eighteenth century, 34 volumes worth of letters were edited and published by the Society of Jesuits under the title Lettres édifiantes et curieuses (you can read a brief summary of the series at Wikipedia, of all places). It takes time to sort out the various editions and publication dates for the volumes, especially if you're trying to do it through interlibrary loan, but I think it's worth it. I've been using the 1781 edition (occasionally reading the 1819 edition for newer punctuation and spellings) because that takes me well beyond the end date for my project (1743).

Unfortunately, even with 34 volumes, the collection doesn't include every letter ever written by every Jesuit priest in the world. That's where the Jesuit Archives in Vanves (Paris) come in handy. I've just started working here, and can I say, this is a really great research experience. Aside from my inability to use the doorbell properly, it's been very painless, even with my abominably poor French (I read it much better than I speak it, obviously). Le Père Archiviste, Robert Bonfils, is friendly and helpful. He speaks perfect English and didn't make me feel stupid for lacking the same fluency with his own language.

Today I looked at two volumes of the Fonds Brotiers, reading letters from various Jesuits interested in astronomy in India and China. These letters nicely fill in the gaps left in the Lettres édifiantes. I think I took the right approach--spent quite a bit of time with the published letters, worked out a timeline and familiarized myself with names and personalities, and then went to the archive. The names I'm reading are all familar to me, and I've read published letters by all of them. This has been surprisingly helpful when I'm trying to decipher complex handwriting.

Practicalities: I had a native French speaker translate my letter of introduction into French for me, but I'm not sure that is necessary. At any rate, you can contact the archivist at:

Archives de la Province de France de la Compagnie de Jésus
15 rue Raymond Marcheron
92170 VANVES
France

Contacting Mr. Bonfils ahead of time helped me discover that a citation reproduced a hundred times over in the secondary literature on my subject was incorrect.

The archive opens at 9 a.m., and is closed for lunch from 12:00-1:30, which will give you plenty of time for a nice lunch.

Unlike the British Library, this archive permits the use of a camera, useful for taking images of fragile documents.

There are two Citéa hotels within a two-minute walk of the archive. I can say that Citéa Vanves Porte de Châtillon is clean and comfortable (it looks exactly as the website promises), and it takes me 45 seconds to walk from the front door of the hotel to gate of the archive, 4-5 minutes to walk to the grocery store, and 9-10 minutes to walk to the metro. So, convenient, and inexpensive at Euro65/night.